Quitter ses racines a Dix huit ans, suite a une mort assassine.  ☆ Ici depuis dix bonnes années, étant tombé amoureux de ce lieu 'une beauté horrifique. ✮Le tour du monde, en vingt ans, c'est bien aussi, non ? ☆ Une nuit n'est que cauchemar, un réveil n'est que de sueur. ✮Fumeur, buveur, tricheur, beau parleur au air de menteur. ☆ caché sous un chapeau de cow-boy, le chat qui ne grandit pas a mit du temps a faire sa place ici bas. ✮ Amoureux, nous le sommes a chaque instants et malgré tout jamais, raison de mon infini solitude et pourtant d'une compagnie constante, chaque soirs afin de lutter avec mon sommeil destructeur. ☆ croire que je prendrai un médicament est comme imaginer que le red bull donne de véritable ailes. ✮ Une bonne quinzaines de métiers a mon actif, sa fait des centaines d'histoires a raconter. ☆

#1. tu connais l'italie ? Y étant depuis dix ans, effectivement, j'ai eu le temps de connaitre mais, en y repensant. la beauté d'un lieu est son mystère. #2. et capri, t'en penses quoi ? Aucune phrase, aucun mot, ne décrit le battement de mon cœur perturbé face au pale visage enfantin de Capri. #3. la villa médicis, t'y es pour quelle raison ? Lieu de pénitence, devenu celui d'une vie, lieu qui verra ma fin et connaitre la raison de mes larmes silencieuses. #4. tu penses y rester ? j'y mourrai. #5. quels sont tes plans dans les jours à venir ? Continuer mon role d'habitué, employé, et fantôme de ces lieux.

Elle est de cire la poupée, doigts de velours, prunelles de braise.  Le papier ce déchire si facilement, un contrat dans le vent, perdu entre deux icebergs. Bouffé par les poissons solubles. Aucune question sur la feuille de sang. gamin qui fixe le monde. Un point au dessus de sa tete, interrogation qu'on lui arrache. A la mer. Comme le reste. Sa frappe a la porte du château. Sa pleure dans la chambre de princesse. Apparence, espérance. Les briques étais des cartes. Coller a la cire chaudes. Le prince n'aura de couronne qu'en la mort du royaume. le roi regarde l'or sur son crane dénudé, s'écraser sur des marches grisâtres. L'enfant y assiste. Nobles sur le papier. Monstres dans l’âme. ce n'étais qu'une auréole de papier. Les yeux d'un enfant ne juge pas, il fusille, sur place, temps de guerre. Mon père j'ai tué ce jour la. Mentalement. Un accident prémédité. A dix ans, nous ne sommes qu'un embryon de nous même. Le noyau, le cœur de notre existence a venir. Encore pure. Et malgré tout l'horreur frappe a la porte de fer.  Les chevalier sorte les armes. papa, ta couronne roule a tes pieds, rattrape la avant que maman ne pleure encore, jusqu'a s'en assécher le cœur. La rapidité est argent. La minute est fortune. Le silence est un cadeau qui ne m'a jamais été offert. Résignation. Mes parents sont morts a l'aube de mes dix huit ans. Assassiné, fous se croyant immortel. Échec cuisant. Héritage dans des poches troué, semant sur mon chemin boueux les cailloux de poucet. Ces pierres la étais dorées. Pièces étais mon pardon. Mes mains sont propres. Ma mémoire tout autant. Pourtant, la belle femme qu'est ''culpabilité'' me suis telle mon ombre. Cœur noué. De ville en ville, de pays en pays, visitant des continents aux souvenirs aussi fortunés que ravagés. Le prince sourit. beaucoup trop. Le prince admire le monde de ces yeux encore piégés dans l'enfance invaincu. le prince donne sa fortune a qui le souhaite, il est bon, il fait un bon tricheur. Le prince grandit. Et se perdra, lui et sa tete, dans une ville au rêve immense. Vegas lui crèvera les yeux a coup de merveilles modernes. Londres lui manque. Il rentre. Le cœur se resserre, l'étau aussi. A la table d'un bar, il offre la centième tournée de son début de vie. Le champagne aveugle. Les cœurs souffrants chavirent. Les larmes se ravalent. Partance pour le pays du Soleil Levant qui au final, pointe rarement le bout de son nez. Des nuages de grisailles cachent les rayons de cet etre lumineux. le prince pleure, fixant un poulet, alors que ses yeux hurle sa peur, enfermé dans cette cage d'osier. Le prince pense a ses racines, déraciné. Il les voit, les coups de fusils dans le château de carte. Et il se voit surtout, non responsable de cet acte mais, jubilant devant le corps de ceux qui lui on donnés la vie. Le prince paye une autre tournée. le prince part en Italie. S'enferme dans un hôtel. Pleure les soirs. Le prince s'en veux. Le prince a mal, peur, maladroitement malheureux. le prince traîne dans les couloirs, devient le fantôme de ceux ci. Et un jour, il décide que s'est en ce lieu que son dernier souffle aura lieu. Sans raison apparente, sans meme le dire a haute voix. le prince veux mourir en simple humain, le prince ne supporte plus cette couronne, brûlant son crane. Et puis, soudainement, face a ses pensées, le prince se souvient de la raison de ce sentiment, ce bonheur face a la mort du roi et de la reine mais, ceci est une autre histoire.