Luca est le digne descendant de son père. Ayant toujours vécu dans l’opulence, il rêvait d'assouvir son pouvoir sur les affaires de son père. C'est chose faite. Implacable, il gère sa vie personnelle comme ses affaires. Avec fermeté et pragmatisme ☆ charismatique et véritable requin des affaires, luca obtient toujours tout ce qu'il désire. Que ce soit la nouvelle Porsche ou la jolie blonde de la piscine. Rien ni personne ne lui résiste. A part, peut être la gamine. ✮ il répond à tous les clichés du connard de base. incapable de sentiments, il est d'une bassesse sans nom. Il n'a aucun scrupule à piétiner le bas peuple pour s'élever socialement ☆ malgré tout, il a une éducation parfaite. il sait charmer les femmes et les hommes, mais si vous ne lui êtes d'aucune utilité, son intérêt va vite se dissiper. Demandez à sa fiancée. Elle pensait qu'il l'adulait, le découvre tel qu'il est : froid et hautain ✮ il en a connu des femmes dans sa vie. Des blondes, des brunes, des histoires sérieuses, des histoires d'un soir, des connes, des pas baisables, mais il n'y en a que deux qui comptent : vitani et babi. Les autres lui importent peu, fiancée inclus ☆ petit, il voulait être pilote d'avion ou dresseur de lions. Son père lui a dit que ça rapportait pas d'argent et tout le monde sait que l'argent gouverne le monde ✮ sa fiancée est le stéréotype de la barbie blonde. Elle est jolie, mais putain, ce qu'elle est conne. Heureusement, Luca est doué pour prétendre qu'il écoute ☆ il a un orgueil surdeveloppé. portez lui préjudice et il fera de votre vie un enfer. La même chose est de rigueur si vous osez faire souffrir ses sœurs. ✮ à l'université, il était bookmaker. tous les paris passés par lui, il n'avait pas besoin d'argent, mais ça l'amusait. son esprit de compétition faisait le reste ☆ s'il devait vivre hors d'un hôtel, il serait incapable de survivre. A moins que son assistante puisse également devenir sa femme de ménage

#1. tu connais l'italie ? je connais tous les coins. Du moins, je connais les villes touristiques sur le bout des doigts. #2. et capri, t'en penses quoi ? capri, c'est un peu le seul truc qui ressemble à une maison. #3. la villa médicis, t'y es pour quelle raison ? parce que vitani et babi y sont pardi. #4. tu penses y rester ? pourquoi je partirais ? J'ai beau quitter la villa pour quelques jours, je finis toujours par y retourner #5. quels sont tes plans dans les jours à venir ? demandez à mon assistante.

« Tu m'as présenté comme ta fiancée tout à l'heure. » qu'elle fait remarquer. Elle se veut nonchalante, mais Luca voit clair dans son jeu. Oui, il avait eu le malheur de la présenter à sa famille comme sa fiancée, mais il n'avait pas eu d'autre choix. Tous les Bianchi le regardait, surpris de le voir débarquer aux vacances annuels avec une jolie blonde. Il avait été pris de court, ses mots lui avaient échappé. Cette conversation le fatigue déjà. Il jette sa veste de costume sur le canapé de leur suite. « Tu voulais que je t'appelle comment ? Ma copine ? On a plus 18 ans. » Et même à 18 ans, il n'appelais pas les filles qui partageaient son lit ses copines. Elles importaient bien trop peu pour recevoir une étiquette. Lotti importait autant qu'elle, voir moins. Mais elle s'imbriquait à la perfection dans le plan de vie de Luca. La fiancée blonde, belle, un peu bête, mais qui sait se tenir en société. Elle était pas trop mauvaise au lit, ça aurait pu être plus s'il imaginait leur histoire comme une relation monogame. Lotti était la parfaite femme trophée, cette femme, qui saurait le faire briller en société sans jamais assombrir son égo. « Est ce que ça veut dire qu'on va se marier ? » Il lui tourne le dos, ouvre la porte du balcon pour s'allumer une cigarette. La vue l'impressionne toujours autant. Ou c'est peut-être la jolie blonde assise à la piscine. « Si c'est ce que tu veux. » Il fait presque acte de charité en acceptant de l'épouser. Pauvre conne. Pourtant, elle s’immisce entre lui et la rambarde et emprisonne ses lèvres avec une joie non dissimulée. Il avait toujours dit, Luca, que les filles s'étaient facile à gérer. Il n'y avait que Babi et Vitani qui étaient compliquées. « Je t'aime. » qu'elle lui murmure. Pas lui. Jamais lui. Ces mots n'ont aucun sens à ses yeux. Elle l'embrasse, elle glisse ses mains sous sa chemise, mais quand il lui fera l'amour, c'est l'image de la jolie blonde qui s'immiscera sous ses paupières. Sombre histoire qui s'annonce.