à la pointe de la griffe.

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Nino Sanna

In the thousand ways to lead me back to the start
but you make it easy, you. to be who I want to be.
white coats ~ foxes © minotaure/bazzart.org

Donc toi, ton nom c'est ★ antonino sanna dit nino. rares sont les personnes qui l’appellent encore antonino, même ses parents qui ont au fil du temps adopté nino. son surnom est devenu son prénom et nino ne se présente plus que comme tel. et t'as quel âge ★ nino a dix-neuf ans. il soufflera sa vingtième bougie courant juillet, le 16 pour être précis. t'es né en italie ★ italien pur souche, sans l'ombre d'une effluve étrangère, nino est né à rome. comment t'es arrivé à capri ★ aussi loin qu'il s'en souvienne, il est toujours venu passer ses vacances à capri, ses parents trouvant l'endroit approprié pour déposer baguette et micro le temps d'un été. mais t'es d'où ★ il est de partout parce qu'il a suivi ses parents sur leurs tournées, mais il est surtout de rome. il y tient à sa ville natale, autant qu'aux vacances en famille à capri. et t'as un 06 ★ nino, il a le rock dans la peau. il est électrique, le coeur battant pour ces histoires qu'on chante pour faire pleurer les filles. mais personne n'a encore voulu de ce fils du rock qui se décolore les cheveux et se traine avec son blouson de cuir. il est donc célibataire. et ta famille, elle est comment ★ son père comme sa mère ont souvent le visage imprimé sur les magasines de musique, des paragraphes sur le mode de vie d'une rockstar. le père de nino est chanteur, sa mère : la furie derrière la batterie. il y a plusieurs années, ils ont monté un groupe de rock, du rock comme on en fait plus aujourd'hui. pourtant papa comme maman continue de faire crier leurs fans. ils continuent de voguer sur les routes d'europe pour l'amour du public et du rock d'antan. ils sont fiers de ce que tu fais ★ nino, il a la musique dans les veines, le sang qui pulse au rythme de la basse, la tête qui se perd sous les compositions. nino, il a arrêté les études avant d'avoir le bac. c'était nul. c'était chiant. esprit libre, apprendre de lui-même c'était mieux. il y a que la musique, il y a toujours eu que la musique. alors aujourd'hui, nino, il fait du punk/rock avec ses potes, un groupe qui peut-être sera connu dans dix ans. il chante et lève ses baguettes. mais surtout, il vit.
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petit lapin, derrière ton écran ★ laura. tu viens d'où ★ le pays des licornes. t'as des rides déjà ★ - 1000 av jc. t'es arrivé là en tapis volant ou en fusée ★ au macdo du coin. une ultime bafouille ★ j'vous baise. et c'est qui ton avatar ★ lucky blue smith. et t'es qui toi ★ inventé. et t'es dans quel groupe ★ les habitués.
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☆ try me

☆ love me

☆ hate me

nino, il vit pour aujourd'hui. pas pour hier. pas pour demain. il s'accroche au présent de toute ses forces pour le rendre toujours plus beau à vivre, en embarquant qui le veut. ses parents lui ont appris à vivre comme ça. pour le jour j. pour l'heure h. sans se soucier de ce qui arrivera le lendemain. nino, il est comme ça, il ne se pose jamais de question. ☆ rock'n'roll toujours. jusqu'à la mort. ✮ 100. 200. vitesse de vie. il ne se pose jamais, saute partout en hurlant que c’est beau ici. et surtout là. il court à perdre haleine, décoiffe les regards comme un tourbillon de bonne humeur, un excès de joie. on le regarde passer en souriant et puis on se dit que bon dieu, il va mourir jeune à vouloir vivre trop vite le p’ti gars. mais nino, il n’aime pas s’ennuyer. il doit toujours être occupé parce que sa tête voudrait exploser en un millier de musique s’il s’arrêtait de bouger, s'il s'arrêtait juste pour respirer. ☆ il apprend de tout, s’inspire de rien. d’un regard azur. d’un sourire éphémère. d’un brin de rire. il aime regarder les gens et écrire pour les passants la musique de leur vie. quelques notes griffées sur une page blanche. quelques mots tatoués à l’encre noire. pourtant, jamais personne n’a posé les yeux sur les compositions de nino. il les cache, parfois. souvent, les brûle en se disant que ce n’est pas assez bien, avant même de les voir éclore sur ses lèvres. ✮ il aime voler des baisers aux filles. juste comme ça, pour les voir sourire. de simple baiser. un effleurement avant de disparaître comme un coup de vent, n’attendant rien en retour. pas pour leur faire du mal, juste parce qu’il ne comprend pas pourquoi les gens s’obstinent à créer des cases et des barrières, là où il ne voit que liberté d’être. nino, il ne brise pas les cœurs, ni ne rend triste les filles. il est juste spontané. trop, pour certains. ☆ touche à tout, il a le rythme dans la peau. la batterie, c'est sa chérie mais il y a pas que ça qui prend vie entre ses doigts tout doux. il aime la guitare électrique. il s'extasie sur un synthé. mais ce qu'il aime par dessus tout, c'est la sueur quand elle perle d'un front en transe. ✮ débardeur. short long en jean troué. cheveux dispersés. il s'habille toujours comme ça. un style destroy, à l'arrache, comme il dit. il s'en fout de plaire ou de déplaire. il s'en fout d'être bien ou d'être mal. même ses parents s'en foutent. ☆ nino, il connait pas les règles. on lui a jamais appris à suivre les lignes de la vie, les oui et les non, les fait pas si et fait pas ça. on lui a laissé tout vivre, tout faire. pas d'autorité. pas de barrières. pas de limites. boire de la bière à quinze ans avec papa. fumer un joint avec maman à dix-sept. c'était normal. tout à toujours été normal. ✮ les sex pistols. les clash. les ramones. c'est ce qu'il y a dans ses écouteurs quand il marche sur la plage, une cigarette coincé entre les lèvres, ses cheveux décolorés dressés sur la tête. des dieux pour lui. des génies qu'il adule sans concession. ☆ si c'est pour vivre à moitié, autant ne pas vivre du tout. c'est ce que son père lui a dit et répété. autant mourir que d'être menotté à la vie. dictat qu'il applique à la lettre, le nino. ✮

#1. tu connais l'italie ? comme sa poche. l'italie, c'est toute sa vie même s'il a déjà vu d'autre pays. #2. et capri, t'en penses quoi ? capri, c'est beau, ça a toujours été beau. avec sa vue paradis et ses falaises tombantes où on peut (presque) toucher le ciel. nino, il adore capri. vraiment. #3. la villa médicis, t'y es pour quelle raison ? parce que c'est toujours là où ses parents et lui passent leurs vacances d'été. même si aujourd'hui, papa et maman ont préféré rejoindre un festival à amsterdam, faire le plein d'hallucination, plutôt que de rester ici avec lui. #4. tu penses y rester ? peut-être bien. sûrement. c'est bien capri pour écrire. oui après l'été, il restera là. #5. quels sont tes plans dans les jours à venir ? aller sauter de la falaise. courir nu sur la plage. fumer quelques joints. enfiler quelques bières. profiter du soleil de capri. et composer pour ses beaux yeux.

ses lèvres recrachent la fumée qui s’envole vers l’horizon bleu, qui salit la beauté des lieux. mais nino, il s’en fout que le vent sente l’odeur si douce du joint. peut-être que ça le rendra moins vorace à faire voler ses cheveux. peut-être, ouais. ses pieds se balancent dans le vide, font tomber quelques cailloux insignifiants plus bas. des petits cailloux gris qui s’écrasent sur les vagues et qu’il regarde intrigué de ses pupilles dilatées, comme si il y avait là une question existentielle, une réponse à sa vie. si tu tombes, tu t’écraseras comme ça nino ? comme un pauvre cailloux ? il tire sur sa cigarette et la tend à la fille à côté de lui. elle a la peau dorée de coups de soleil. c'est fou, son maillot de bain jaune ressort bien sur sa peau bronzé. c'est presque jolie. elle l'attrape entre ses doigts et s'exécute à faire mourir un peu ses poumons, comme lui le fait depuis qu'il a dix-sept ans. merci maman. et puis d’un coup, la voix cristalline de la fille, un peu comme le chant des mésanges, berce le silence. « pourquoi ils sont presque blancs tes cheveux nino ? » il hausse des épaules. « j’sais pas. » si il sait, mais il a pas envie de l’expliquer. pas maintenant qu’il regard loin là-bas, au bout de l’océan. il est occupé à compter les nuages en forme de note de musique. et puis, c’est chiant de répondre, de toujours donner des réponses à des mots. surtout quand il y a le poison dans ses veines. elle est pas brusquée de sa réponse. parce qu'elle se dit que - peut-être - il sait vraiment pas. alors, elle demande autre chose. politesse mal placée. « t’écoutes quoi ? » il hausse des épaules. « j’sais pas. » qu’il répond encore, en lâchant rien des paysages éphémères. « tu sais rien en fait ? » elle s'agace un peu. un petit sourire se dessine sur les lèvres gercées de nino, mordues par le sel de l’île. alors, il secoue la tête et il pose ses yeux dans les siens. ses trous noirs qui se perdent dans l’émeraude. il connait pas son prénom et ça aussi, il s’en fout. parce que c'est pas vraiment important de savoir ces choses-là. c'est papa qui l'a dit. elle est juste là, c'est tout. « t’es chiante là. pourquoi t'fais que poser des questions hein ? on s’en fout d’savoir pourquoi si et pourquoi ça. sérieux. » il souffle. pas irrité, juste un peu ennuyé. elle est ennuyante oui, à poser plein de questions alors qu’ils ont toute la vie pour ça. « c’est relou, alors arrête d’faire ça. » elle ronchonne et il rigole bêtement devant les éclairs qui zèbrent ses yeux. c’est drôle, son nez frétille quand elle boude. il l’a bien remarqué au milieu de son visage. il reprend son joint, retire dessus à se faire cramer la langue, à se faire vriller la tête. « arrête de rire. » elle croise les bras sur sa poitrine. « plus tard. » il éteint le mégot et le fourre dans la poche de son short. c’est important de préserver la nature. il se lève précipitamment tandis qu'on voit les étoiles tomber dans l'eau. il enlève ses écouteur et son débardeur. elle l'observe, fronçant des yeux. « on saute ? » elle ouvre plus grand son regard et se redresse à son tour. « tu vas pas sauter ?! c’est haut quand même. » il hausse des épaules. comme souvent. comme toujours. « c’pas grave. on saute et on verra. » pourtant, elle a pas l’air décidé. il a peut-être trop d’audace pour elle. ou alors, il est juste timbré à vouloir tout tester, même la mort. elle regarde en bas. « on voit rien, en plus. si y a des rochers.. » il enlève son short. « bah tant pis, non ? on peut pas savoir avant. » suicidaire à demi-mot. non, juste le besoin de dépasser les limites d'être. comme papa et maman lui ont appris. oui, suicidaire parfois. mais c'est pas ça être un fils du rock ? en boxer, il s'élance et saute d'un coup, sans se poser aucune question. c'est trop tard de toute façon. un cri déchire la nuit. puis un rire alors qu'il secoue ses cheveux pour les libérer de l'eau. « regarde, j'suis pas mort. viens. » qu'il lui lance en parlant plus fort pour qu'elle l'entende. elle reste fixée sur lui. une seconde. une minute. en se disant qu'il est fou. vraiment bien fou, mais pas de la bonne manière. « tu vas où ? » sans réponse. il la voit s'éloigner, disparaître. restant tout seul. encore.

lucky + le nom I love you

bienvenue

lucky

bienvenue

j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire !

miam lucky c'trop mystérieux tout ça, j'veux en savoir plus bienvenue à la maison sinon belle plante

naoooon lucky, je l'aurais bien pris pour mon dc je peux qu'approuver cependant
bienvenue chez toi

merci à vous. vous êtes des amours.
j'espère que ce cher nino sera aussi beaux que vous les jolies.

florrie > oh pardon de te couper l'herbe sous le pied.

ouuuuh, comment t'es vachement bien charmant toi.
bienvenue le blond.

bienvenuuuuue, avec lucky.

bienvenue

t'es beau comme un camion, bienvenue à capri I love you

vous êtes parfait aussi les chats. je meurs déjà d'amour.

(la jenner ! omg, je sens mon taux d'hormones grimper.)

Nino Sanna a écrit:: (la jenner ! omg, je sens mon taux d'hormones grimper.)

on pourra arranger ça juju

quand tu veux.

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capri, c'est fini, et dire que c'était la ville
de mon premier amour, capri, c'est fini.
capri ~ hervé vilard

promethée/bazzart.org

j'aime beaucoup ton style d'écriture, j'ai hâte de le voir à l'oeuvre le petit rockeur bienvenue à la maison
voila, t'as terminé ta fiche ! tu vas enfin pouvoir aller au bord de la piscine et te poser les doigts de pieds en éventails pour buller tranquillement
mais avant d'enfiler ton peignoir pour aller au spa, vas faire un tour du coté du bottin pour vérifier que ton avatar s'y trouve bien. ensuite, va voir le planning pour savoir à quelle chambre tu es, et qui sont tes voisins. et puis tu peux aussi nous dire ce que tu fais dans la vie, ici. et enfin, le plus important, va te faire une fiche de liens, pour pas boire ton cosmo tout seul sur la plage et n'oublie pas non plus d'aller flooder n'oublie pas que tu peux rester en contact avec les autres en te créant un téléphone ainsi qu'un instablog et puis, finalement, y'a aussi l'intrigue à laquelle tu peux toujours t'inscrire

et puis, s'il y a le moindre truc qui va pas, n'hésite pas à contacter les administratrices, on est toutes là pour toi et pour que ton aventure à la villa médicis soit des plus inoubliables

merci beaucoup chloé. (je me permets)